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Par sergiolelion le 23 Octobre 2012 à 18:09
La gentillesse
Je suis toujours à rouspéter, à pester contre quelqu’un, quelque chose, mais je sais reconnaître aussi ceux ou celles qui sont de bien agréables personnes.
J’ai trouvé ce passe temps, le site, pour m’occuper la tête et le temps, et depuis sa création j’ai beaucoup de surprises, parfois un peu amère, moins aussi plutôt plaisantes.
Il y a une amie, qui m’aide à trouver des gifs et qui participe à mon blog, une autre qui me fournit de merveilleuses photos, aussi deux, trois, qui participent, mais pour passer un petit moment ensemble. J’ai par le hasard des rencontres du Web, fait la connaissance de Véro, et il y a un ami qui me passe des courriers. C’est incroyable par ce moyen de communication, les amis (es) que j’ai pu me faire. Et quand par le hasard de leurs occupations je n’ai pas de leurs nouvelles, sitôt je suis inquiet, et pousse un ouf de soulagement quand le contact se renoue.
Il y a aussi les étourdis, qui oublient de me donner le moyen de leur répondre, une adresse, je suis tellement embêté quand ça arrive, car je pense que cet interlocuteur ou interlocutrice doit penser que je suis impoli, mes amis (es) pensez bien, de mettre une adresse. Merci
Sergio.
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Par sergiolelion le 25 Février 2012 à 08:59
Maman.
Tu pensais que je ne te regardais pas !
J'ai vu que tu mettais mon premier dessin sur le frigidaire
J'ai appris que tu étais fière de moi
J’ai vu que tu nourrissais un chat errant
J’ai appris qu’il faut bien soigner les animaux
Tu pensais que je ne te regardais pas !
J’ai vu des larmes couler de tes yeux
J’ai appris que parfois des petites choses nous blessent, et il est permis de pleurer
Tu pensais que je ne te regardais pas
J’ai vu que tu faisais mon gâteau préféré
J’ai appris que des petites choses sont très agréables dans la vie
Tu pensais que je ne te regardais pas
J’ai senti un baiser sur ma joue pour me souhaiter bonne nuit
Je me suis senti protégé par ton amour
Tu pensais que je ne te regardais pas !
J’ai vu que tu faisais à manger pour le voisin malade et alité
J’ai appris que nous devons aider et soigner les autres
Tu pensais que je ne te regardais pas !
J’ai vu que tu nettoyais bien partout
J’ai appris que l’on doit respecter ce que nous avons
Quand tu pensais que je ne te regardais pas !
J’ai appris des leçons de la vie que je devais apprendre
Comme toi, je dois être une personne bonne, gentille, et courageuse quand je serais grand !
Je t’ai regardé et j’ai voulu te dire…Merci pour toutes ces choses que j’ai vu quand tu croyais que je ne te regardais pas
Maman
Tu es ma fierté et mon meilleur exemple dans la vie.
SERGIO
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Par sergiolelion le 25 Février 2012 à 08:42
Les lueurs du jour
À la première lueur du jour,
Dernière heure de nos amours.
Le soleil étend son aura,
Tu me retires tes bras.
Une belle journée s'annonce,
Notre amour renonce.
Les étoiles disent au revoir.
Fin de notre nuit d'espoir.
Le petit jour paraît,
Lentement tu disparais.
A bientôt ma belle fée,
Notre aventure est consacrée.
C’était notre destinée,
Au rythme de tes tournées.
Ô tendres nuits et petits jours,
Pour y vivre nos amours.
Sergio
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Par sergiolelion le 10 Février 2012 à 11:24
La neige sur marseille
Marseille sous la neige
La France a revêtu
Un froid manteau tout blanc
Mais, nous, on reste têtus :
Où est le réchauffement ?
C’est vrai qu’on est perdu
Quand cela fait vingt ans
Qu’à Marseille il n’y eut
Tant de neige… et pourtant !
Qui de nous n’a pas vu
Un scientifique montrant
Que les riches font bévues
En si mal consommant ?
Fébriles, on n’en peut plus
Et on espère, lâchement,
Que notre planète fourbue
Se réchauffe prestement !
Sergio
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Par sergiolelion le 28 Janvier 2012 à 18:23
Fuir
Pour quiconque a une mère
Qui lui rend vie amère,
Survivre n’est qu’une longue fuite
Dans laquelle… il l’évite !Mes autos miniatures,
Mon vélo comme voiture,
Puis mon cyclomoteur
Servirent à mon bonheur.J’aimais tout ce qui bouge,
Surtout de couleur rouge,
Pour espérer tenter
De pouvoir l’oublier.Seul, dans cette liberté,
Sans son autorité,
Je trouvais de l’air pur,
Sous couverts d’aventures.Si venaient les vacances,
Je saisissais la chance
De choyer tous les cieux
Où n’iraient pas ses yeux.Planqué dans mon maquis,
Tout me semblait exquis :
Je rêvais, en silence,
D’un avenir moins rance.Sergio
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